Jean François Pasques - Mortelle Canicule
Eté 2003.
La canicule fait rage dans Paris. Des températures supérieures à 40°C sont atteintes.
La surmortalité explose, on réquisitionne un hangar réfrigéré à Rungis afin d'y entreposer les dépouilles.
Plus de quinze mille décès seront attribués à cette vague de chaleur.
Le commandant Delestran est chargé d'accueillir la fraîchement diplômée Victoire Beaumont. Il emmène la jeune lieutenant à l'Institut médico-légal de Paris, où les légistes sont littéralement débordés par la situation sanitaire.
Là, alors qu'un médecin entrouvre un sac à corps, l'officier renifle une odeur caractéristique. Il en est certain : la jeune femme dont le corps sans vie vient d'arriver à la morgue n'est pas morte d'un coup de chaleur.
Mon Avis
« Le thermomètre indiquait 42 °C, un record ! Il était 15 h, la chaleur brûlait les yeux. On s’enfonçait dans le magma de la canicule désormais installée dans la capitale depuis plusieurs jours. On ne cherchait plus à lutter, on se laissait fondre. »
La canicule sévit sur la France. Nous sommes en été 2003, et les victimes s'accumulent.
Le commandant Delestran, accueille dans son équipe une nouvelle collègue, récemment diplômée. Lors d'une visite à l'IML, le commandant Delestran détecte une odeur..., une odeur très particulière..., une odeur d'amande amère.... Cette odeur l'interpelle, elle provient d'un cadavre. Alors suicide ou meurtre ? Une enquête est ouverte.
L'auteur est capitaine de police, il nous entraîne dans une enquête policière à la "Maigret". Il nous fait découvrir les techniques d'une enquête et de la médecine légale....
Une histoire très réaliste....😆
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