Christian Jacq - Ramsès - Tome 3 - La bataille de Kadesh

Résumé
Une guerre totale. Car ses ennemis ne reculent devant rien. Il flotte au palais royal comme une odeur de trahison. Et Pharaon doit, plus que jamais, savoir où sont ses amis. À 25 ans, il a déjà prouvé sa capacité à gouverner l'Égypte. Aujourd'hui, il doit démontrer aux dieux qu'il peut la défendre...
Mon avis.....
J'ai toujours été attirée par l'Egypte Antiques, les lectures de cet auteur.... Ici, vous découvrez le côté historique, mais pas seulement.... Vous vivez une véritable épopée.... Vous rencontrez des personnages passionnants.... des amours, la guerre, des complots, la magie.... une belle saga que je vais lire d'une traite.....
QADESH BATAILLE DE (1286 av. J.-C.)
La bataille menée en l'an 5 du règne de Ramsès II (— 1290-— 1224) contre une coalition dirigée par le roi hittite Mouwatalli a été célébrée à l'envi sur les parois des temples égyptiens ainsi que sur papyrus. En dépit de cette abondante documentation, en textes et en images, et malgré l'apparente véracité de la narration, le déroulement en demeure mal connu, les sources ayant pour unique visée la glorification de la personne royale. Le triomphe tant exalté du pharaon ne fut sans doute qu'une demi- victoire. Toutes les versions concourent, selon des schémas éprouvés, à opposer la fourberie du roi hittite, à dessein laissé dans l'anonymat, au courage de son adversaire. C'est par une ruse que l'armée égyptienne est mise en difficulté, trompée par de faux espions dont la mission est de faire croire à la fuite des forces ennemies, massées en réalité au pied de Qadesh (ville située sur l'Oronte), non loin de l'endroit où Ramsès II, lancé à leur poursuite, installe son propre camp. Inattendue, l'attaque hittite sème la panique ; le salut n'est dû qu'à la valeur du souverain égyptien qui, abandonné de ses troupes mais assuré de la protection des dieux (d'Amon notamment qui, au moment le plus critique, lui tend la main), retourne à lui seul la situation en sa faveur. Quels que soient les faits, seize ans plus tard, est signé, entre les deux puissances, le premier traité que l'histoire ait conservé. (Universalis)
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