Eric Fouassier - LE BUREAU DES AFFAIRES OCCULTES - TOME 2 - LE FANTÔME DU VICAIRE
Mars 1831, Louis-Philippe, nouveau souverain des Français, hésite encore entre une politique libérale et une ligne dure. Au gré des changements qui interviennent au sommet de l’État, l’existence du Bureau des affaires occultes est remise en question. C’est dans ce contexte peu favorable que son chef, Valentin Verne, se voit confier une affaire délicate : enquêter sur les agissements d’un mystérieux mage. Tables tournantes, dialogues avec l’au-delà, apparitions inexplicables se succèdent et sont autant de défis lancés à l’esprit rationnel de l’inspecteur. La tâche s’annonce d’autant plus ardue que celui-ci doit en même temps faire face à un adversaire encore plus redoutable : le Vicaire. Cet odieux criminel, que Verne n’a eu de cesse de traquer depuis son entrée dans la police, fait sa réapparition.
Des bas-fonds parisiens aux salons luxueux d’hôtels particuliers, Éric Fouassier mène son intrigue tambour battant. Le Figaro magazine.
En bonus, le début du premier chapitre du nouveau roman de l’auteur.
📚 Et alors, ce livre ? 📚
« Le mal a ceci de particulier qu’il ne possède aucune limite. »
« Il faut toujours se glisser dans l’ombre de son ennemi avant de le frapper. »
Ce livre est la suite du "Bureau des Affaires occultes".
Nous retrouvons Valentin Verne, dans un véritable jeu de piste dans ce Paris du XIXème Siècle.
L'histoire est addictive, historique, scientifique et sociale.
Valentin mène deux enquêtes, l'une est professionnelle et l'autre plus personnelle, il traque encore et toujours cet être abject qu'est le vicaire.
J'aime les romans historiques, nous y croisons souvent quelques personnages connus, là, en l'occurrence il s'agit du célèbre Vidocq.
En sillonnant Paris en compagnie de notre inspecteur, nous visualisons les costumes, redécouvrons les vieux métiers disparus, un petit cireur de chaussures, et avec lui réentendons le parler d'autrefois.
«Bien le bonjour chez vous ! Et soyez pas trop vachard avec le tout-venant de la racaille. Quand ceux d'en haut s'remplissent les poches, il faut bien qu'ceux d'en bas jouent d'la pogne pour les alléger un peu. Tant qu'y a pas mort d'homme» !
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