GEORGE SIMENON - Le charretier de la Providence - TOME 2
Des faits le plus minutieusement reconstitués, il ne dégageait rien, sinon que la découverte des deux charretiers de Dizy était pour ainsi dire impossible.
Le dimanche - c'était le 4 avril -, la pluie s'était mise à tomber à verse dès trois heures de l'après-midi.
A ce moment, il y avait dans le port, au-dessus de l'écluse 14, qui fait la jonction entre la Marne et le canal latéral. deux péniches à moteur avalantes, un bateau de déchargement et une vidange.
Un peu avant sept heures, alors que commençait le crépuscule, un bateau-citerne, l'Eco-III, s'était annoncé et avait pénétré dans le sas.
🌻🌼 Et alors, ce livre ?
Si la vie est misérable, elle est pénible à supporter ; si elle est heureuse, il est horrible de la perdre. L’un revient a' l'autre .
Une jeune femme est retrouvée étranglée dans un canal.
Une histoire très triste, ou l'on se rappelle qu'à l'époque toutes les péniches n'étaient pas à moteur, elles étaient tout simplement tirées par des chevaux sur les chemins.
De nombreuses descriptions qui nous font découvrir des mots anciens : "panama", "charretier", "un système de trématage"..., et qui nous apprennent aussi qu'il y avaient des écuries sur les péniches.
Une histoire émouvante, en compagnie d'hommes habitués à vivre à la dure.
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