Paul Couturiau - Le paravent déchiré
Avec l'aide de ses amis de la troupe de théâtre du Paravent de soie
rouge et le soutien occulte du futur empereur Jiaqing, le musicien
britannique Thomas Charles Perkins et la belle Zhang s'efforcent de
faire obstacle aux menées de leur ennemi, Andy McCarthy, prêt à tout
pour atteindre celui dont il a juré la perte.
Les deux amants Suivrent
dans l'ombre pour le bien de l'Empire.
Parviendront-ils, tout en
préservant leur amour, à s'acquitter de leur mission ? L'enjeu
économique étant trop important pour les Britanniques, et la Chine
devenue plus ferme, la guerre de l'opium semble pourtant inévitable ?
Aujourd'hui, je réalise que je me suis mis à "vivre" le bonheur, le jour même ou j'ai cessé de vouloir "faire" pour accepter d'"être". En vérité, notre nature profonde s'exprime de manière identique quel que soit notre lieu de résidence. Ce qui change, ce sont ses modes d'expressions. L'essentiel est immuable.
Monsieur Staunton, vous êtes-vous jamais intéressé à ces "braves gens" autrement qu'en les considérant comme des bras susceptibles, un jour, de prendre les armes et d'entonner le "Ah, ça ira, ça ira..." du peuple français, si la misère les y poussait ? Permettez-moi d'en douter, sans quoi ces "pauvres gens" ne vivraient pas dans un tel dénuement. Si Londres désire vendre son coton en Chine, c'est pour enrichir les propriétaires des usines textiles, pas pour améliorer l'ordinaire des ouvriers.
Je crois comme vous qu'un peuple doit être maître de son destin Pour savoir où l'on va, il faut savoir d'où l'on vient. Un étranger ne possédera jamais qu'une connaissance superficielle des racines d'une culture qui n'est pas la sienne.
Or un pays, vois-tu, quel qu'il soit, n'est jamais grand que dans la paix. Il n'est grand que lorsque le peuple est heureux.
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