Vladimir Nabokov- LOLITA
Résumé de l'éditeur
Mais tant que le sang continue de battre dans cette main qui tient la plume, tu appartiens autant que moi à la bienheureuse matière, et je puis encore t'interpeller d'ici jusqu'en Alaska.
Sois fidèle à ton Dick.
Ne laisse aucun autre type te toucher. N'adresse pas la parole aux inconnus. J'espère que tu aimeras ton bébé. J'espère que ce sera un garçon.
J'espère que ton mari d'opérette te traitera toujours bien, parce que autrement mon spectre viendra s'en prendre à lui, comme une fumée noire, comme un colosse dément, pour le déchiqueter jusqu'au moindre nerf.
Et ne prends pas C.Q. en pitié. Il fallait choisir entre lui et H.H., et il était indispensable que H.H. survive au moins quelques mois de plus pour te faire vivre à jamais dans l'esprit des générations futures.
Je pense aux aurochs et aux anges, au secret des pigments immuables, aux sonnets prophétiques, au refuge de l'art.
Telle est la seule immortalité que toi et moi puissions partager, ma Lolita.»
La phrase qui fait mouche« Lolita, lumière de ma vie, feu de mes reins. Mon péché, mon âme »
L’histoire -
Humbert Humbert, un professeur de littérature quadragénaire, se souvient. De son amour de jeunesse, une gamine rencontrée sur la Côte d’Azur. C’est à qu’il aperçoit une très jeune fille provocante et délurée, Dolorès, surnommée Lolita, qui l’attire immédiatement. Pour s’en approcher, il loue une chambre chez la mère de celle-ci, Charlotte Haze, et finit même par l’épouser. Cette union sera de courte durée : sa logeuse meurt subitement, on sans avoir, avant, découvert les penchants de son nouveau mari. Humbert prend alors Lolita sous son aile. Devenus amants, ils quittent la maison endeuillée pour une échappée débridée à travers l’Amérique des autoroutes, des drugstores et des motels, jusqu’à un retour à la vie « ordinaire ». Lui, amoureux, tente de dompter la nymphette, en vain.
Le style -
Nabokov avait pour habitude de rédiger des fragments notés sur des fiches qui, une fois assemblées, devenaient des romans.
Leur point commun ? Une prose puissante, évocatrice et fortement imagée. Après un demi-siècle passé à écrire et plus d’une vingtaine de livres publiés, Lolita, sorti en France en 1955 en version anglaise, demeurait le roman auquel il était disait-il, le plus attaché.
Humbert Humbert, un professeur de littérature quadragénaire, se souvient. De son amour de jeunesse, une gamine rencontrée sur la Côte d’Azur. C’est à qu’il aperçoit une très jeune fille provocante et délurée, Dolorès, surnommée Lolita, qui l’attire immédiatement. Pour s’en approcher, il loue une chambre chez la mère de celle-ci, Charlotte Haze, et finit même par l’épouser. Cette union sera de courte durée : sa logeuse meurt subitement, on sans avoir, avant, découvert les penchants de son nouveau mari. Humbert prend alors Lolita sous son aile. Devenus amants, ils quittent la maison endeuillée pour une échappée débridée à travers l’Amérique des autoroutes, des drugstores et des motels, jusqu’à un retour à la vie « ordinaire ». Lui, amoureux, tente de dompter la nymphette, en vain.
Le style -
Nabokov avait pour habitude de rédiger des fragments notés sur des fiches qui, une fois assemblées, devenaient des romans.
Leur point commun ? Une prose puissante, évocatrice et fortement imagée. Après un demi-siècle passé à écrire et plus d’une vingtaine de livres publiés, Lolita, sorti en France en 1955 en version anglaise, demeurait le roman auquel il était disait-il, le plus attaché.
Plus qu’un Prénom
Avec ce roman, Lolita, diminutif de Dolorès (signifiant « douleurs » en espagnol) est devenu un nom commun chargé de sens. On désigne par ce prénom les très jeunes filles, pré-adolescentes, usant des ressorts de la séduction habituellement observés chez les femmes.
Une autre manière d’évoquer une nymphette.
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