Depuis que je sais lire, je lis, je lis et je lis… Partout… Je suis une Lectivore…
1er janvier 2018, Vive la retraite, je relis tous les livres de ma bibliothèque, sur ma liseuse, sans compter ceux que j'achète, pour vous dire que ma PAL est énorme.
L’école - Quelques bons mots en guise de récréation - Proverbe Français
Enfants, Alphonse Daudet nous a fait rêver avec ses "Lettres de mon moulin". La belle et grave histoire du meunier Cornille dénonçait déjà les ravages sur la société des gens humbles qui vivaient au plus près de la nature, d'un productivisme qui aujourd'hui menace notre survie sur la planète. Et si le conte fantastique Wood'stown, lui aussi, venait nous apporter un message du déjà lointain 19ème siècle ? Qu'a-t-il bien pu se passer dans la tête d'Alphonse Daudet pour illustrer ce morceau de la "civilisation" irrespectueuse, Wood'stown, chassé par une nature brusquement invincible et conquérante ? Quoi qu'il en soit, ce texte résonne aujourd'hui d'une façon particulière. En souffrant pour la forêt à la lecture de Wood'stown, en souhaitant qu'elle retrouve le territoire dont elle a été chassée, faut-il vraiment et en tout premier lieu, souffrir pour soi-même et souhaiter de toutes ses forces trou...
Palmarès Les 100 livres de l'année 2024 - Lire Magazine " Cette intrigue bouleversante nous tient en haleine au fil de rebondissements imprevisibles." Pelerin Jusqu’où peut-on aimer ? Jusqu’à s’oublier… Le nouveau roman de Mélissa Da Costa nous plonge au cœur de l’intimité d’un couple en miettes et affronte, avec une force inouïe, la réalité de l’amour, du désespoir, et la soif de vivre, malgré les épreuves. « Elle a conquis ses lectrices avec Tout le bleu de ciel , les a désarçonnées avec La Doublure et enthousiasmées avec Les Femmes du bout du monde. » Olivia de Lamberterie, Elle « Un succès complètement mérité. » Augustin Trapenard, La Grande Librairie « Mélissa da Costa, la jeune romancière qui chamboule tout ». Mohammed Aïssaoui, Le Figaro littéraire 📖 Et alors, ce livre ? 😀 💙 "Elle m'a embrassé. J'avais encore le goût...
À propos « Colette est remorte. Ce mot n'existe nulle part. Remourir, ça n'existe pas. » Colette était une femme sans histoire. C'est du moins ce que l'on croyait jusqu'au jour où sa nièce apprend son décès par un appel de la police. Car Colette, sa tante unique, a déjà été enterrée il y a trois ans... Avec ce roman virtuose où s'entrelacent destins et intrigues palpitantes, Valérie Perrin, extraordinaire conteuse de nos vies, signe son grand retour. Et alors, ce livre ? 😏 Des personnages trop nombreux. Le rythme est cassé par des aller-retours passé-présent, trop nombreux Des pages et des pages, concernant un club de foot, puis nous rencontrons des monstres dans un cirque, puis le cinéma avec 4 récits, l'enfance, l'artisanat, l'homosexualité... et j'en oublie. Trop, c'est trop. C'est long, beaucoup trop long. Très décevant, comparé à "changer l'eau des fleurs", que j'avais adoré
Commentaires
Enregistrer un commentaire